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Channel: Olga Caldas – HALLE SAINT PIERRE
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EVELYNE ACCAD

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FEMMES MONDE
reçoit
Samedi 30 janvier, 15h à 18h, entrée libre
en CONCERT
EVELYNE ACCAD

avec la participation de “Elles Chantent” et autres musiciens

12042622_10156106940045323_586862656283893115_n

Halle Saint Pierre – auditorium (entrée libre)
2, rue Ronsard – 75018 Paris

Chanteuse et compositrice de ses propres textes : poésie et musique, Evelyne Accad, écrivaine, Professeure émérite de l’Université d’Illinois et de la Lebanese University de Beyrouth chante l’espoir pour un monde meilleur dans les guerres qui ravagent son pays le Liban. Elle chante pour que les femmes retrouvent le chemin de la liberté dans un monde qui les étouffe de plus en plus. Elle chante pour que l’amour triomphe de la haine et de la violence. Elle parle et chante son itinéraire de femme engagée pour que la lumière brille à nouveau là où il fait de plus en plus sombre, et que la femme se relève.

écouter ici


Association FEMMES-MONDE
11 rue Antoine Bourdelle
Bât.B, 75015 Paris
Tél : 01 45 49 37 40 – Mob : 06 89 85 83 02
E-Mail : a.m.richard@orange.fr
www.femmesmonde.com


Laurent Impeduglia

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Laurent IMPEDUGLIA
exposition du 09/01/2016 au 07/02/2016
 dans le cadre de l’exposition HEY! Modern Art & Pop Culture, ACT III 
organisé par Art Factory et la revue Hey!

Vernissage & dédicace revue Hey! # 24
le vendredi 8 janvier 2016 de 18h à 21h30  – entrée libre

Halle Saint Pierre – Galerie (entrée libre)

1Laurent Impeduglia – “mysterium magnum”, 2015 – fusain sur papier – 45 x 60 cm

Retrouvez le team arts factory sur place à la Halle Saint Pierre , tous les dimanches de 14h à 18h

Après Amandine Urruty et Caroline Sury, la galerie Arts Factory poursuit sa programmation hors les murs dans le cadre de l’exposition HEY! Modern Art & Pop Culture, ACT III avec les dessins au fusain de Laurent Impeduglia.
Adepte d’une bad pop painting résolument décomplexée, Laurent Impeduglia (1974) vit et travaille à Liège. Après des débuts remarqués au sein du collectif Mycose, il partage désormais son temps entre l’enseignement à l’Ecole Supérieure des Beaux-Arts de Liège et la construction d’une oeuvre iconoclaste. Empruntant au Pop Art ses codes éculés avec les habituels détournements de personnages issus de la culture populaire, il multiplie en contrepoint les références à la mort, la religion et la guerre, pour plonger au final le monde merveilleux de l’entertainment dans une ambiance apocalyptique. Auto qualifié de post-neo-créténisme, le chaos pictural de Laurent Impeduglia semble avoir été orchestré par une armada de gamers mystiques, tout droit sortis des bas-fonds de l’Internet mondial. Bonne nouvelle, ils sont désormais au service d’une critique implacable du matérialisme et des dérives spéculatives du marché de l’art.

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La revue Hey! # 24

zoom_10492_allHEY!#24_lightgif ici

La revue HEY!, fidèle à sa mission, fait entrer la scène contre-culturelle vivante et hétérogène de plein pied dans l’histoire de l’art contemporain. Dans ce dernier numéro de 2015, retrouvez Laurent IMPEDUGLIA, Maggie Taylor, Kim Joon, et bien d’autres artistes !
Inclus : une jaquette exclusive signée Robert Craig et Betsy Youngquist, ainsi qu’un cahier graphique de Malojo.
HEY! vous donne également rendez-vous à la Halle Saint Pierre jusqu’en mars 2016 pour le 3e acte d’une trilogie d’expositions qui a déjà séduit plus de 150 000 visiteurs. Parmi les artistes présentés, Mark Ryden, Marion Peck, Thomas Woodruff…

 

 

Toubib à Montmartre et la Goutte d’Or

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CONFERENCE
Toubib à Montmartre et la Goutte d’Or
suivie de la signature du livre
Chronique d’un médecin pas ordinaire
de Gérard Lopez
éditions l’Esprit du Temps

Dimanche 14 février 2016 à 15 heures – entrée libre

Halle Saint Pierre – auditorium (entrée libre)
Réservation conseillée : 01 42 58 72 89

toubib a la goutte d'or 2

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Lopez_GerardGérard Lopez est psychiatre, président fondateur de l’Institut de Victimologie à Paris, conseiller scientifique du réseau  www.victimo.fr et expert près les tribunaux. Il a été l’initiateur des premiers diplômes universitaires de Victimologie et du premier diplôme de Psychotraumatologie en France. Il enseigne actuellement à l’Université Paris 5 au Laboratoire d’Ethique Médicale, dans le Département de médecine légale de la même université (Pr Christian Hervé) et à l’Institut de criminologie de Paris.

BIBLIOGRAPHIE
 Victimologie, Dalloz, Paris, 1997
 Les Violences sexuelles sur les enfants, P.U.F, collection “Que Sais-Je ?”, Paris 1997
 Le Vampirisme au quotidien, L’Esprit du Temps, 2001
 Le Non du Fils, Desclée de Brouwer, Paris, 2002

EN COLLABORATION
– avec Piffaut-Filizzola G., Le Viol, P.U.F, collection “Que Sais-Je ?”, Paris 1993 – 2° édition 1996. Traduction suédoise 2001.
– avec Sabouraud Seguin A. et Coll., Psychothérapie des victimes, Dunod, Paris, 1998. Nouvelle édition 2002
– avec Casanova A., Cesser d’être une victime, Editions Lamartinière, Paris, 2001
(et Pocket)
– avec Portelli S. et Clément S., Les droits des victimes : victimologie et psychotraumatologie, Dalloz, Paris, 2003
– avec Tzitzis S. (sous la dir.), Dictionnaire des sciences criminelles, Dalloz, Paris, 2004
– avec Jehel L., Psychotraumatologie, Dunod, Paris, 2006 (à paraître)

«Confusions»

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CONFUSIONS
exposition du 16 février au 16 mars 2016
Collages
Léo Quiévreux –  Noémie Barsolle –  Jean-Kristau  – Marie Noël Döby
Guillaume Soulatges –  Nadia Agnolet –  Donkie Joorkmuil –  Véro

 

AfficheHSP-2016

Halle Saint Pierre – à la Librairie
ouvert tous les jours

L’exposition «Confusions» à la librairie de la Halle Saint Pierre explore les territoires du collage au travers d’un ensemble de sérigraphies, la plupart réalisées pour l’occasion. Qu’il soit manuel ou numérique, qu’il soit conçu à partir de dessins ou de photos, le collage cite, détourne ou accumule les images pour produire des effets de non-sens ou de saturation. Empruntant à la peinture classique autant qu’à la bande dessinée, à l’abstraction géométrique ou à l’imagerie des pin-ups hollywoodiennes, les œuvres présentées ici traitent moins de la représentation que de la défiguration, vers l’informe, le ridicule, le monstrueux.
En anglais, on dit : « Chance meeting on a dissecting table of a sewing machine and an umbrella ».

Culture Commune

Culture Commune est un jeune micro-label d’édition présentant des artistes de l’underground graphique actuel. Créé au printemps 2013 par Guillaume Soulatges, il entend diffuser des œuvres idiotes, dérangeantes et sexuelles. S’inscrivant dans une logique DIY, résolument discrète et minoritaire, le label a publié jusqu’à présent près d’une trentaine de livres et d’estampes. L’ensemble des publications est imprimé manuellement dans l’arrière-salle d’un local punk et se destine à une diffusion restreinte. Quatre expositions ont déjà pu montrer la production de Culture Commune à Quimper, Lyon, Paris et Marseille.

Autour de l’exposition HEY!

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Angela DALINGER  – & – Matthias LEHMANN
du mardi 9 février au dimanche 6 mars 2016
dans le cadre de l’exposition HEY! Modern Art & Pop Culture, ACT III 
organisé par Art Factory et la revue Hey!

Vernissage le mardi 9 février de 18h à 21h30 entrée libre

Avec évènement HEY !  ( signature catalogue + Numéro / Warm up Gramo / Goodies)
Publiés dans la revue HEY n° 24 (décembre)

Halle Saint Pierre – Galerie (entrée libre)
Ouvert tous les jours

Carte à gratter///2009

Matthias Lehmann – Carte à gratter///2009

Matthias Lehmann est un auteur de bande dessinée, illustrateur et peintre français. Né en 1978, il se définit lui-même comme franco-brésilien.
Dès l’âge de 16-17 ans, il édite des fanzines auto-produits à la linogravure. Son attachement à cette technique marque l’esthétique de son travail, dans les projets à la carte à gratter (L’Etouffeur de la RN 115) comme à la plume (La Favorite). Parallèlement à son travail d’auteur il publie régulièrement ses illustrations dans la presse, notamment dans Libération, Le Monde des Livres, Siné Mensuel, et participe également à des anthologies comme Comix 2000, Lapin ou Dirty Stories.

Le bloc-notes de Matthias Lehmann

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Angela Dalinger
jeune illustratrice de 31 an, née à Hambourg en Allemagne

Le bloc-notes d’Angela Dalinger

Performances

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CABARET DADA
Session performative pour artistes et poètes

Célébration du centenaire de l’ouverture du Cabaret Voltaire
(Zurich, 6 février 1916)
Samedi 6 février 2016, 15 heures – entrée libre
Halle Saint Pierre – auditorium

réservation conseillée : 01 42 58 72 89

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The House Of dreams

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PROJECTION
“The House of Dreams”
Life project of Stephen Wright

Film de Vince Rogers (2013 – 13 mn)image

Dimanche 28 février 2016 à 15h – entrée libre

Halle Saint Pierre – auditorium
Réservation conseillée: 01 42 58 72 89

Stephen Wright est un artiste autodidacte vivant et travaillant à Londres.
Il a transformé sa maison en un musée que l’on peu visiter sur demande et qu’il a appelé  “The House of dreams”.

Mot de l’artiste

“En 1999, je commençais à travailler sur le projet du musée The House Of Dreams chez moi, à East Dulwich, au sud de Londres. Avec l’aide de Donald Jones, un collaborateur, je voulais transformer ma maison et le jardin en un sanctuaire dédié à mes propres oeuvres. Je suis animé par-dessus tout du désir d’embellir mon espace et d’occuper toutes les surfaces disponibles à l’intérieur et l’extérieur de la maison.
Le musée est un voyage d’auto-exploration, incorporant mes passions, qui comprennent l’art religieux populaire du Mexique, d’ Amérique du Sud, d’Inde et d’Haïti. J’embellis mon environnement pour créer un sanctuaire à ma vie en utilisant des jouets trouvés, abandonnés, des paillettes, des capsules de bouteilles, de vielles poteries et objets souvenirs kitsch. Je suis très attiré également par les poupées vaudou haïtiennes. Ces objets fétiches ont été un outil idéal pour le développement d’une grande série.
Le musée The House Of Dreams est soutenu par National Trust et fera l’objet d’une donation à l’état.

en savoir plus (CLIQUEZ ICI)

Sélection janvier 2016

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Les libraires de la Halle Saint Pierre vous recommandent ces livres !
Halle Saint Pierre
– à la librairie (ouvert tous les jours)

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71s7joP91XL._SL500_SX383_BO1,204,203,200_Ferdinand Cheval est né à Charmes, un petit village proche d’Hauterives en 1836. Il appartenait à une famille paysanne assez pauvre et se mis très tôt à travailler avec son père. Sa fréquentation de l’école fut donc très limitée. Devenu apprenti boulanger, il s’exila quelques années loin de sa famille pour trouver du travail, avant de revenir dans son village, où il deviendra facteur rural.
Avril 1879. Ferdinand Cheval, facteur rural âgé alors de 43 ans, butte sur une pierre si bizarre lors de sa tournée qu’elle réveille un rêve. Véritable autodidacte, il va consacrer 33 ans de sa vie à bâtir seul, un palais de rêve dans son potager, inspiré par la nature, les cartes postales et les premiers magazines illustrés qu’il distribue.


2541798987Un magnifique livre d’Anna Pravdova sur Jan Krizek

C’est une œuvre pie que vient de publier Anna Pravdova à Prague, République tchèque, un magnifique livre d’art sur Jan Křížek édité par les bons offices de la Narodni Galerie de Prague (la Galerie Nationale). On aurait pu croire en effet l’œuvre et la vie de cet artiste extraordinaire en bonne voie d’oubli total tant les aléas de la vie, les persécutions policières, les conditions politiques défavorables (en Tchécoslovaquie en 1948 avec l’avénement du stalinisme, comme en France avec ses lois hostiles aux étrangers), la misère économique avaient conspiré dans son cas à l’empêcher de rester dans nos mémoires, et au point aussi de son vivant à le pousser à cesser de créer dans sa discipline préférée, la sculpture.
Article du Poignard subtil, lire la suite : http://lepoignardsubtil.hautetfort.com/…/un-magnifique…


téléchargementJacques Prevel arrive à Paris durant l’occupation. Autour de Saint-Germain-des-Prés, il connaît l’isolement et la misère car il renonce à toute situation pour écrire. Il publie à ses frais trois recueils de poèmes. En 1946, la rencontre d’Antonin Artaud est son illumination. De ce jour jusqu’à la mort d’Artaud, en 1948, il écrit le roman de sa vie, la quête quotidienne de nourriture, de drogue, de poésie, recueillant les paroles d’Artaud, les textes qu’il lui dicte, les lettres qu’il lui écrit. “L’intensité de sa vie me faisait entrer dans un absolu, le sien. J’étais pris dans un tourbillon. Je le suivais comme un somnambule. Et quand je le quittais à Jussieu ou quelque part dans la nuit, je revenais ivre, étrangement obsédé par ses paroles, par les chants qu’il psalmodiait, par son visage unique.” Epuisé par la tuberculose, Jacques Prevel meurt cinq ans jour pour jour après sa première rencontre avec Artaud, laissant un journal qui ne sera publié à titre posthume qu’en 1974.


Sans titre-1L’Imaginaire et le Réel ; toute sa vie, Charles Duits explora ces deux mondes, jusqu’à « ce point où le haut et le bas cessent d’être perçus contradictoirement ». Dans la continuité du Pays de l’éclairement, cet ouvrage regroupe des textes relatifs à ses incursions dans les contrées oniriques, tout autant que dans le « pays pur » auquel donne accès le peyotl. Méditation, visions, expérience intérieure, enseignement spirituel constituent la matière de ces textes qui décrivent un cheminement intérieur. Toutes ces expériences procèdent de la conscience visionnaire, ou démonique, conscience qui est propre au daimôn, ce génie qui inspire à l’homme qui sait l’entendre ses plus troublantes intuitions. Ces textes sont écrits dans la langue limpide et merveilleusement imagée qui était la sienne.
Inclus dans cette édition renouvelée, le très beau texte sur la vision du Christ que Charles Duits eut à vingt-trois ans : Le 6 décembre 1948.

Charles Duits a 17 ans quand il rencontre André Breton à New York. Il est, quelques saisons, le jeune poète inspiré du groupe surréaliste en exil. A son retour en France, il collabore aux principales revues littéraires, écrit un premier roman. Par-delà des périodes de silence, il construit une œuvre forte, sans concession, qui prend naissance dans son expérience d’homme en quête de lui-même. Explorateur de l’ombre, inventeur de mondes fabuleux, il publie notamment Le pays de l’éclairement, Ptah Hotep, Nefer.
Charles Duits meurt à Paris en avril 1991, peu après la réédition de
André Breton, a-t-il dit, passe.


9782020950275Imaginez une cité-jardin résidentielle offrant des conditions exceptionnelles à des couples choisis qui s’engagent sur un contrat de procréation… Localisée au pied du Parlement européen à Strasbourg, cette expérimentation grandeur nature dura des années 1920 aux années 1980 grâce au soutien des pouvoirs publics.
Synthèse de l’eugénisme britannique, allemand et français, ce projet visait à « accélérer l’évolution de l’espèce humaine ». Le créateur de ce « laboratoire humain », Alfred Dachert, était un homme d’affaires qui se rêvait en poète tragique de l’eugénisme, en Ibsen alsacien.
Paul-André Rosental explore cette entreprise politique et scientifique en se fondant sur des archives inédites. En expliquant l’énigmatique longévité de l’expérience, l’auteur réinterprète les grandes politiques républicaines de l’après-guerre, de la Sécurité sociale à la démocratisation scolaire.
Dans cet essai pionnier de microhistoire politique de la France contemporaine, Paul-André Rosental prend la mesure de l’héritage de l’eugénisme, idéologie scientiste et inégalitaire, en contexte démocratique.
L’eugénisme ne constitue pas seulement une théorie biologique qui hante les débats bioéthiques. De manière inattendue, il se révèle comme une théorie morale ayant pu imprégner cette norme de notre temps qui a pour nom « psychologie du développement personnel ».


Para-Mythologies

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Rencontre littéraire / Spectacle
à l’occasion de la parution en France du livre

“Para-Mythologies” d’Effi Hatziforou

Samedi 5 mars 2016 à 14h30
Halle Saint Pierre – auditorium (entrée libre)

La rencontre se présentera sous la forme d’un spectacle hybride :
des images du livre seront projetées sur écran, accompagnées de la voix
d’Effi Hatziforou, le tout relayé par deux conteuses et avec
les improvisations d’un musicien.
Le spectacle sera suivi d’un débat avec le public et d’un buffet.

Sans titre-1

Résolument hybrides, nous préférons les chemins de traverse aux routes droites toutes tracées, l’infini des constellations aux nuits sans étoiles. Si nous connaissons les frontières, c’est pour mieux les franchir.

Qu’est-ce que Para-Mythologies ?

– C’est avant tout un livre singulier, original à plus d’un titre.
Cet ouvrage a été entièrement conçu sur ordinateur par son auteure grecque. Cette dernière, frappée de la maladie de Parkinson depuis des années est désormais incapable d’écrire à la main. Traductrice de Marguerite Duras, universitaire et parfaitement bilingue, elle est en outre résolument francophile et portevoix de la culture française dans son pays.

Mais Para–Mythologies est aussi un véritable livre d’art, un album d’images fabuleuses qui mettent en scène une autre façon de raconter les mythes grecs, espiègle et irrévérencieuse.

Dans le processus de création, les textes en français et en grec ont commencé à alterner et je me suis rendu compte que ce jeu avec les couleurs, les formes et les mots exprimait des aspects essentiels de ma double culture grecque et française. Il avait fallu l’immobilité forcée, et l’intervention de l’ordinateur, qui reste pour moi de l’ordre de la magie, pour qu’enfin je puisse créer.
Effi Hatziforou

Para-Mythologies, c’est aussi le lancement de l’édition papier en français de ce livre unique en son genre, organisé par Kurbeti – Les Nouvelles Hybrides en association avec Phonie-Graphie. Le livre sera disponible à la vente.

Le projet franco-grec de Para-Mythologies, initié par l’association Kurbeti – Les Nouvelles Hybrides,spécialiste des projets transversaux et méditerranéens, est soutenu par Phonie-Graphie et son coordonnateur culturel et pédagogique Nikos Graikos.

Dangerous de Mark Ryden

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CONFERENCE /SIGNATURE

dans le cadre de l’expositon Hey! modern art & pop culture/Act III
autour de l’artiste Mark Ryden et de son oeuvre Dangerous

” La culture pop au panthéon des Beaux-Arts.
Dangerous, de Mark Ryden à Michael Jackson “

d’Isabelle PETITJEAN, éditions L’Harmattan, 2015

Samedi 27 février 2016 à 15 heures

Halle Saint-Pierre – auditorium (entrée libre)
Réservation conseillée : 01 42 58 72 89

img-14247018348Au sujet de la conférence

Cette conférence vise à analyser l’un des tableaux de Mark Ryden, intitulé « Dangerous » ayant été créé pour la de pochette de l’album emblématique de Michael Jackson, « Dangerous », en 1991. L’auteure proposera une présentation, un décryptage et une re-contextualisation de l’opus, enrichis par des illustrations visuelles et musicales, puisque son ouvrage consiste en une double étude artistique et culturelle croisant la pochette (le tableau de Mark Ryden) et la musique concoctée par Michael Jackson et ses équipes de production.

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Biographie d’Isabelle Petitjean (ici)

Isabelle Petitjean est musicologue et professeure d’éducation musicale

 

L’intime, l’intimité, la chair, le corps

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La revue Art et Thérapie & L’Institut National d’Expression, de Création,
d’Art et Thérapie
(INECAT)

présentent
Le Séminaire mensuel à la Halle Saint-Pierre
sous la direction de Jean-Pierre Klein, psychiatre, pionnier de l’art-thérapie en France
Chaque 3ème samedi du mois, de janvier à juin 2016

” L’intime, l’intimité, la chair, le corps “

Après six années consacrées à l’énigme de la création et à l’avènement de la métaphore et son expérimentation, puis à la réappropriation du corps propre grâce à son abord métaphorique, nous allons plus profond dans l’intime et ce qui peut en être témoigné.
L’intime est ce que nous percevons de l’intérieur de nous-même, plus sensation que perception consciente, de l’ordre de l’indicible non partageable. L’intimité en est une extension : c’est un lien que nous nouons avec nos relations intimes, nos amours, nos amis, nos thérapeutes. L’intime de notre chair est-il partageable quelque peu dans un temps où ce qui est sollicité est le corps-pour-autrui étalé dans les arts visuels, les arts de la scène, le sport, la publicité, la pornographie, les messageries ?

Comment rendre compte de l’ineffable ?

***
Samedi 20 février 14H30

Jean CLAM
chercheur au CNRS et à l’EHESS philosophe, sociologue et psychanalyste :

L’artiste comme extracteur de l’infra du corps.
L’art dispose-t-il d’un accès à l’intériorité corporelle ?

geneses_coverGenèses du corps : des corps premiers aux corps contemporains.
Une
théorie des mouvements corporants, Paris, Ganse Arts et Lettres, 2014.

En savoir plus : http://www.jean-clam.org/

Halle Saint Pierre – auditorium
Réservations recommandées : 01 42 58 72 89
Tarifs : 10 € /5 € pour les élèves INECAT

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Prochain séminaire samedi 19 mars à 14h30
Georges Marbeck, écrivain, essayiste,
L’orgiaque, composante universelle de l’attraction sociale manipulée en exhibition hyper-médiatisée de l’intime.

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Présentation du séminaire 2016 par Jean-Pierre Klein

Programme 2016 (CLIQUEZ  ICI)

Rougerie et la Belgique

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ROUGERIE et la BELGIQUE
ou l’atelier de Mortemart
(en Limousin)

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René Rougerie, fondateur des éditions Rougerie

Une après-midi de lectures par des poètes de Belgique publiés aux éditions Rougerie

Précédées d’un avant – propos :
Rougerie et la Belgique ou l’atelier de Mortemart, proche banlieue de Tournai, Bruxelles, Namur et Liège!

en compagnie des poètes :
Marc Dugardin, Gaspard Hons,
Françoise Lison-Leroy et Serge Nunez Tolin

Dimanche 13 mars 2016 – entrée libre

Halle Saint Pierre – auditorium
Réservation conseillée : 01 42 58 72 89


NOTICES BIOGRAPHIQUES 

Marc Dugardin
Né à Bruxelles en 1946. A travaillé comme éducateur spécialisé puis dans la formation d’éducateurs. Sa poésie, nourrie de solitude, se veut néanmoins solidaire, en quête de la résonance qu’autrui peut lui offrir.
« Un partage. Une langue (…) Le poète non seulement la cherche : c’est son travail, après tout. Mais il vous met à l’œuvre de la chercher avec lui. » (Lucien Noullez). Depuis 1986, la plupart de ses livres ont été publiés aux Editions Rougerie.

Gaspard Hons
Né il y a soixante dix-sept ans en pays de Liège, poète, et chroniqueur de poésie, notamment au Mensuel Littéraire et Poétique du Théâtre Poème de Bruxelles. Mais aussi au Journal des Poètes.
L’ensemble de ses titres chez Rougerie et aux éditions du Taillis Pré en Belgique.

Le poète écrit et continue à écrire parce qu’il ne sait pas vraiment faire autre chose…et s’abandonne ainsi à l’écriture mais aussi au jardinage à la marche, ainsi qu’à l’approche dynamique de poètes penseurs philosophes peintres. ..sans oublier son intérêt croissant pour les penseurs du monde bouddhique .

Françoise Lison-Leroy est née au Pays des Collines, en Belgique, entre une école rurale et un grand paysage. Depuis « La mie de terre est bonne », son premier recueil publié en 1983, elle tente de dire la même petite chose, neuve, essentielle, qui a toute sa ferveur. « La fière leçon des ruisseaux, celle des sentiers ensablés, celle des cratères. » « Et la parole qui gît, seule, dans la paume émaciée des astres. » La poésie, elle la partage à travers des lectures, l’invite dans les ateliers d’écriture qu’elle anime.
« Le silence a grandi » est le huitième recueil édité chez Rougerie. D’autres ont vu le jour chez Esperluète, en Belgique. D’autre part, les éditions Rue du Monde publient régulièrement, en anthologie, ses poèmes destinés aux jeunes lecteurs.

Serge Núñez Tolin : « J’écris davantage pour vivre que pour dire. »
Né à Bruxelles en 1961. Neuf livres parus. Ces dernières années, chez Rougerie éditeur : « L’ardent silence » 2010, « Nœud noué par personne » * 2012 et  « Fou, dans ma hâte » en 2015. *« Nó dado por ninguem » édition bilingue au Brésil en 2015.
La hâte qu’exprime le poète de bout en bout témoigne de sa recherche perpétuelle, de son dynamisme, de sa ferveur à dire, à trouver les mots justes pour dire le réel, eux qui sont « si peu suffisants et si peu capables de serrer les choses dans ce que nous ne pouvons dire ».
– Mélanie Godin in Le Carnet et les Instants

 

Association pour la recherche et l’étude du surréalisme

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CONFERENCES DE L’APRES
organisées par Françoise Py, maitre de conférence Université Paris 8
le deuxième samedi du mois de 15h30 à 18h30

Halle Saint Pierre
– auditorium (entrée libre)
Réservation conseillée :  01 42 58 72 89

RENCONTRE / PROJECTION

Samedi 13 février 2016 de 15h30 à 18h30

lid_travail
Laurence IMBERT D., peintre et sculpteur, dialogue avec ses amis poètes et critiques :

Gérard Xuriguera, Fernando Arrabal, Jean-Clarence Lambert, Jean-Yves Bosseur, Daniel Loewers Jean-Loup Philippe et Marame Al Masri.

Projection du film :
Laurence Imbert D. : l’entre deux mondes.

Intermèdes musicaux : Jérémy Lecoq (violoncelle et voix)

Présentation du livre de Gérard Xuriguera
:
Sur l’aile d’un songe : Laurence Imbert D
. (Editions F.V.W., novembre 2015).


PROGRAMME DE LA JOURNEE

PRESENTATION par Françoise Py

PROJECTION FILM
L’Entre deux Mondes réalisé par D. Oke

LES ŒUVRES
* Les œuvres picturales avec JC Lambert et Françoise Py
* Intermède musical Jérémy Lecoq avec visionnage de photos
Lecture Ophélia Grimm et Jérémy Lecoq
* Les sculptures, avec JC Lambert et Françoise Py
Projection Film musical avec images des chaises

RENCONTRES POETIQUES AUTOUR DES LIVRES OBJETS
JL Philippe – Lecture poèmes
JY Bosseur – Opéra Canibale
JC Lambert – Trilali
PM Levergeois – Murmures
Maram Al Masri – Poèmes
Ophélia Grimm – Lecture Livre Arrabal
Alain Kremski

PRESENTATION DU LIVRE Sur L’aile d’un songe
Gérard Xurigera, Franck Van Wilder, LID

DEBAT avec la salle


LAURENCE IMBERT par  Françoise PY

La peinture de Laurence Imbert nous ouvre les Jardins du ciel.
Ce sont des paysages lointains sans ressemblance avec le connu, des régions encore inexplorées aux couleurs et aux formes imprévisibles. Dans ses cartographies imaginaires, l’infiniment petit rejoint l’infiniment grand. Ses cosmogonies renvoient à l’univers cellulaire, à l’embryologie. Elle retrouve ainsi l’intuition fondamentale de Victor Hugo qui notait : « tout est l’atome et tout est l’astre ». Dans cette peinture de l’énergie en suspension, des déflagrations voisinent avec des zones pacifiées, les teintes sourdes avec les couleurs éclatantes, les terres avec les cinabres.

L’espace-temps qu’elle ne cesse d’explorer est aussi notre temps historique revisité et retravaillé. A l’instar de Matta qui disait : « je ne suis pas un peintre, je suis un montreur », elle montre par le biais de la peinture. Dans une peinture savante, elle revisite les grands abstraits du XXe siècle pour les mettre à distance : l’abstraction géométrique (expression du rythme par les couleurs et les lignes), l’abstraction lyrique (accords réciproques entre sons et teintes). Son affinité avec la musique contemporaine s’affirme tout particulièrement dans sa dernière série en hommage à Pollock. Ce détour par Pollock est aussi une manière de saluer Hayter, son voisin rue Cassini, son immense ami mort dans ses bras, qui dans les années quarante ouvrit à Pollock la voie du all over, comme le rappelle Pierre-François Albert dans son récent Hayter, un génie du trait. En une performance dansée, elle tourne autour de la toile, ou entre à l’intérieur, pour la couvrir d’entrelacs, de réseaux énergétiques all over où l’œil se perd.

Mais paradoxalement elle réintroduit un centre, un cercle blanc, dans un format carré, comme dans Echec et mat, qui met littéralement en échec le principe du all over et sa lecture non orientée. L’œil tourne autour de ce centre vacant, comme un nombril, un « ombilic des limbes », pour reprendre les termes d’Artaud. Le centre, noyau cosmique, vacuité fondamentale, est aussi un équivalent du silence. Le cercle est détouré avec des objets réels. Chez Pollock, le réel s’invitait subrepticement sous la forme de sable, de verre brisé, de ficelle ou de clous pris dans les lacis de peinture. Chez Laurence Imbert, ce sont d’énormes clous démonstratifs qui affirment un retour à la troisième dimension. Elle réintroduit aussi dans sa peinture le coup de pinceau, le contact direct de l’outil avec la toile que le dripping abolissait. Les références convoquées sont à la fois exaltées et mises à mal, dans une circularité, un éternel retour qui les vivifie. Il y a chez elle subversion de la référence, détournement, retournement spectaculaire. Rarement peinture a été aussi vivante.

– Françoise Py


A venir :  Samedi 12 mars 2016
Hommage à Tzara
par Wanda Mihuleac et les Editions Transignum.
L’Homme approximatif : Spectacle performance avec Wanda Mihuleac, David Napoli, Denis Parmain, Guy Chaty, Siewert Van Dyck, Ioana Tomsa, Cornelia Petroiu.


PROGRAMME 2016 (CLIQUEZ ICI)

« Merci Facteur »

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SPECTACLE
« Merci Facteur »
à partir de textes de Jules Mougin, facteur-poète angevin (1912-2010)

Les 24, 25, 26, 27 novembre 2016

Halle Saint Pierre – auditorium

A cette occasion les œuvres de Jules Mougin seront exposées à l’espace
Galerie de la Halle Saint Pierre.

Evènement organisé en partenariat avec la Fondation de la Poste

L’intime, l’intimité, la chair, le corps

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Dans le cadre du séminaire mensuel L’intime, l’intimité, la chair, le corps
 à la Halle Saint Pierre, dirigé par Jean-Pierre Klein

L’artiste comme extracteur de l’infra du corps.
L’art dispose-t-il d’un accès à l’intériorité corporelle ?
par Jean CLAM
chercheur au CNRS et à l’EHESS, philosophe, sociologue et psychanalyste

Samedi 20 février 14h30

Halle Saint Pierre – auditorium
Réservations recommandées : 01 42 58 72 89
Tarifs : 10 € /5 € pour les élèves INECAT

geneses_coverPlus d’infos :
Jean Clam (cliquez ici)
Programme séminaire Jean-Pierre Klein 2016 (Cliquez ici)

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Prochain séminaire samedi 19 mars à 14h30
Georges Marbeck, écrivain, essayiste,
L’orgiaque, composante universelle de l’attraction sociale manipulée en exhibition hyper-médiatisée de l’intime.


Dédicace

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Jean ZEBOULON

OBJETS
pour les nuits sans lune

éditions La Table Ronde, 2016

9782710378518Samedi 12 mars 2016 à 15 heures (entrée libre)

Halle Saint Pierre – Librairie

Après le règne animal avec Bestiaire pour les jours de cafard (réédition La Table Ronde) et le règne végétal avec Jardin pour les jours de pluie, Jean Zéboulon nous propose à présent, sur le même modèle, une singulière balade dans le monde des choses.

«La finesse du langage de Zéboulon, ses mots, leurs sens mais aussi les sonorités avec lesquelles il joue subtilement, est comparable à un funambule magnifiant avec grâce tout son art de l’équilibre.» Romaine Bettex, La Liberté.

REVUE DE PRESSE

“Quelle poésie, quelle drôlerie, quelle finesse dans l’écriture comme dans les illustrations… Zéboulon s’amuse avec les mots, avec leur sens, et c’est un pur émerveillement de A à Z.
À lire et relire inlassablement même les nuits de pleine lune où les jours d’alléfresse !”
Christine le Garrec, Parallele(s) Magazine, 07 février 2016

NOTICE BIOGRAPHIQUE
Jean Zéboulon est né en 1951, sur l’île de la Cité à Paris. Flûtiste dans une boîte de nuit bruxelloise, cultivateur de bananes en Galilée, dessinateur anatomique pour une faculté de médecine, illustrateur et cartographe à Science&Vie, La Recherche et L’Histoire, il a posé ses valises pendant quatorze ans à L’Express. Il a aussi été l’auteur et l’illustrateur musical de la prestigieuse et énigmatique émission Die Nacht / La Nuit, sur Arte. En 2004, il a publié un premier ouvrage intitulé Bestiaire pour les jours de cafard (Seuil), suivi de Animaux trouvés au coin d’une page (Éditions Être, 2008) et Pensées pour moi-même et quelques autres (Harpo &, 2010). À La Table Ronde, il a publié Anagram en 2011, Jardin pour les Jours de pluie en 2012 et À une passante et à tout ce qui ne passe pas en 2014. Objets pour les nuits sans lune vient de paraître à la Table Ronde.

A voir sur Arte, dans la série Poésie – déc 2015
Bestiaire pour les jours de cafard de Jean Zéboulon

Dit par Féodor Atkine
Animation Thomas Fage

Bestiaire pour les jours de cafard est un étrange et fascinant recueil.
Comme son titre l’indique c’est un bestiaire, oui, mais pas n’importe lequel. La suite du titre devrait déjà nous mettre la puce à l’oreille, mais là aussi nous ne savons pas encore ce qui nous attend.
Oh ! Mais rassurez-vous, c’est un voyage merveilleusement poétique auquel nous convie Bestiaire pour les jours de cafard. Un voyage au cœur d’une faune que nous imaginions familière mais que le travail sur le langage de Jean Zéboulon éclaire d’une façon insoupçonnée et jubilatoire.
Ce livre est à reparaître en février 2016 aux éditions de la table ronde

Pour Poésie nous avons choisis quinze animaux que nous avons réunis en trio. Une animation gracieuse et discrète de chaque illustration accompagne la belle voix du comédien Féodor Atkine.

Bestiaire pour les jours de cafard #1(Cliquez ici)

Bestiaire pour les jours de cafard #2 (Cliquez ici)

Bestiaire pour les jours de cafard #3 (Cliquez ici)

Bestiaire pour les jours de cafard #4 (Cliquez ici)

Kiki et Albert LEMANT

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Exposition rétrospective
Les très riches heures de Kiki et Albert Lemant
proposée par le département des Hautes Pyrénées à l’Abbaye de l’Escaladieu
du 8 avril au 11 décembre 2016

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EN AVANT PREMIERE

une soirée de présentation des très riches heures de Kiki et Albert Lemant
et dédicace de
L’encyclopédie de cet idiot d’Albert

 Mardi 8 mars 2016 de 18h à 21h

à la Halle Saint Pierre

Lencyclopedie-600x800
(en vente à la librairie de la Halle Saint Pierre)

KikiAlbert-300x246Albert & Kiki Lemant
Albert, peintre, graveur, auteur-illustrateur, il est né à Paris en 1953. Taille-doucier de 1972 à 1986 à l’atelier Georges Leblanc à Paris, il se consacre ensuite à sa création personnelle. La recherche de nouveaux supports lui permet d’explorer des techniques aussi différentes que la gravure et les monotypes, l’aquarelle, les fixés sous verre, l’illustration, les installations en papier mâché…

De 1990 à 2000 il collabore à l’agence d’illustrateurs HK Portfolio à New-York. A partir de cette date il réalise une oeuvre prolifique (oui bon faut pas exagérer non plus…) mêlant le plus souvent avec bonheur (ça aussi c’est vite dit !) le texte et le dessin. En 2012 il participe au colloque « Horreurs enfantines » au cours de l’exposition Tim Burton à la Cinémathèque Française. En 2014 le musée d’Orsay lui commande pour l’exposition « Gustave Doré » l’album illustré « Gustave dort » destiné au jeune public.

En collaboration avec sa femme Kiki, ils organisent depuis 2001 de fréquentes expositions en France et dans le monde entier.

Liens :
Albert et Kiki Lemant (ici)
Abbaye de l’Escaladieu ( ici)
département des Hautes Pyrénées (ici)

Albert Lemant : Graveur-Illustrateur 

Compagnie Sur la Grand’ Route

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Nouveau spectacle de la Compagnie Sur la Grand’ Route

Dimanche 20 mars à 15 heures

Halle Saint Pierre – auditorium
danieldestombesmariederamecourt600x381                                                                                                                                                   Avec Marie de RAMECOURT, textes, chansons, piano,
et Daniel DESTOMBES, textes et chansons

Textes
Nazim HIKMET, Walt WHITMAN, Arthur RIMBAUD, Saint John PERSE, Erri de LUCA, Edward BROWN, Jean GENET, Jean CLAVREUL, Gabriel CELAYA, François CHENG, Reiner Maria RILKE, Jean TARDIEU, Fernando PESSOA.

Chansons
Jacques BERTIN, Félix LECLERC, Thibaud DEFEVER, BARBARA, Léo FERRE.

Musiques
KABALEWSKY, GRETCHANINOV, BARTOK, BACH, NINO ROTTA,
Manuel de FALLA, Marie JAËLL, BORODINE.

O toi désir qui va chanter

A pied, le cœur léger, tu prends la Grand’ Route,
Désormais, tu ne fais plus appel à la chance, c’est toi la chance.
Tu attaches de la valeur à toute forme de vie, à la neige, la fraise, la mouche,
au règne animal et à la république des étoiles.
Tu prends contact avec ton cœur,
et avec ce qu’il y a de plus intime au cœur de chaque chose.
Accéder à ton propre mystère, n’est-ce pas aussi dialoguer avec les plus humbles présences de l’univers?
Alors tu marches, respires, chantes, et chantant au-delà de ta peine, de tes peines personnelles, tu avances et laisse le vent décoiffer et baigner ta tête nue.

Tarifs : 15 –  8 Euros.
Pot convivial en fin de spectacle
Réservation ( nécessaire) : charlottedestombes@yahoo.fr


La Compagnie «Sur la Grand’Route» a été créée en octobre 1994 pour la représentation de son premier spectacle appelé précisément «Sur la Grand’ Route», écrit et joué par Daniel Destombes, conteur – chanteur, accompagné par Christian Vasseur à la guitare et au luth, et par Gilles de Talhouët à la flûte baroque.

Depuis sa création, la Compagnie présente des spectacles poétiques et musicaux en poursuivant trois objectifs principaux :

Mettre en valeur la mémoire et le patrimoine, qu’il s’agisse du patrimoine de la mémoire, de la terre natale, de la nature ou encore des textes de notre littérature et de nos chansons.

Mêler les mots à la musique en favorisant un travail artistique entre comédiens et musiciens.


+ d’infos sur
Compagnie Sur la Grand’ Route (ici)

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                  

Alain Nahum « EMERGENCES »

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Alain Nahum
« EMERGENCES »
Photographies
exposition du 25 mars au 30 avril 2016
Vernissage est le 29 mars 2016

Halle Saint Pierre – Galerie (entrée libre) SAC 2 VOILE 1

« Alain Nahum, artiste plasticien et cinéaste, sur des supports différents pellicule, photo, gravures, toiles raconte des histoires d’inconnus, de rencontres, de croisements. Il interroge les traces, les sols et permet à notre regard « la Traversée des apparences ».
Sa série de photographies « Voiles », sont des transparences d’espoir, suggérées et fantomatiques.
Sa série des « Sacs » raconte des histoires de métamorphose d’absence et de précarité. »
Marie VITOUX

A cette occasion  « Emergences, regards sur la ville » livre paru en juin 2015, éditions Parenthèses, sera disponible à la Librairie de la Halle.

Emergences

Sur le livre

C’est un petit film réalisé avec un téléphone mobile qui est à l’origine de ces « émergences » urbaines : un petit mouchoir en papier froissé qui se débat sur une grille d’aération. Ce court film agira comme un déclic. Le cinéaste devient photographe et flâneur urbain en arpentant la ville et décline ses « regards » en cinq séries thématiques : Papiers froissés, Passages, Messages, Transparences, Ombres.
La série « Papiers froissés » joue comme une chorégraphie de ces fantômes de la nuit que deviennent ces Kleenex et ces débris de chiffons ménagers abandonnés au trottoir, retrouvant une nouvelle vie par la magie des formes suggérées. « Ce qui m’a touché, c’est l’intimité contenue dans des choses aussi ordinaires, ces petites ou grandes charges que les gens laissent derrière eux et ce qu’elles racontent. »
Les images de la série « Passages » sont une mise en lumière des usages et des usures laissés par les piétons et les voitures sur les bandes blanches posées sur l’asphalte. Apparaissent alors de surprenantes compositions comme autant de supports de dessins archaïques.
Dans la ville contemporaine, le « Défense d’afficher » a été dépassé par ces milliers de messages apposés sur les descentes d’eau des immeubles, qui par collages, recouvrements et arrachements successifs finissent par dire une véritable histoire sociale des différentes pratiques citadines : autant de traces de « messages » éphémères fixées par le photographe.
Utilisé depuis la Renaissance pour l’entretien d’objets délicats, le blanc d’Espagne, solution de plâtre et d’eau, est encore couramment utilisé pour occulter vitres et vitrines au cours d’un chantier de rénovation. Les vitrines s’ornent alors de taches ou d’empreintes en de véritables compositions abstraites qui constituent la série « Transparences ».
La série « Ombres » est réalisée après l’orage, lorsque l’eau devient miroir et reflète la ville et les passants dans une inversion du regard : marcher sur son image ou être porté par elle ?

« Mon travail n’est ni de la photographie ni de la peinture, c’est une narration, des questions permanentes… »
L’approche photographique de Alain Nahum opère comme une archéologie de l’éphémère, révélant ce qui, dans le quotidien des villes, échappe à notre regard.
Le texte de Jean Klépal rappelle la genèse du projet artistique et éclaire les différentes thématiques développées dans les séries.

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Alain NAHUM

Né en 1948
Cinéaste, photographe et plasticien
Expose ses dessins depuis 2000
Nombreuses expositions en France et à l’étranger (en 2014 en France, en Italie et au Japon).
Représenté à Paris par la Galerie Marie Vitoux depuis 2014.

” Nahum nous prend sans cesse au dépourvu, archéologue du présent il témoigne, là où il ya de l’homme, il y a de l’humain. Les couleurs sépia et les fonds ocre évoquent les murs chaulés auxquels les fresquistes du quattrocento appliquaient leurs sinopsies. Les techniques ont bougé, le geste demeure.”
Jean Klépal

“Les dessins d’Alain Nahum parlent à tous de la distance à soi-même à travers les peurs et les renoncements, les haines et les discriminations ressenties au plus profond de l’âme….”
Jacqueline Costa-Lascoux

Derniers films :
« La Photographie Mise en Scène »/ « Les Usages de la Presse »/ « La Photographie de l’Intime » Trois films pour la collection « Photo » de Arte.
« Des Gens qui Passent » d’après un livre de Patrick Modiano .

+ d’infos

Galerie Marie Vitoux (ici)
Editions Parenthèses (ici)

Femmes Monde

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 L’Association Femmes Monde invite
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Politiqu’elles, de l’Ecole de Sciences Po Paris
pour une conférence sur le thème de :

” le renouvellement politique par les femmes”

Vendredi 8 avril 2016 de 15h à 17h

à la Halle Saint Pierre – auditorium (entrée libre)


Politiqu’elles est une association loi 1901, reconnue à Sciences Po Paris qui réfléchit et agit à la promotion des femmes dans la vie politique.

+ d’infos

Association FEMMES-MONDE (cliquez ici)
11 rue Antoine Bourdelle
Bât.B, 75015 Paris

Annie Richard
Présidente de Femmes-Monde
a.m.richard@orange.fr

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